La détection des structures funéraires liées à la crémation

Par Isabelle Le Goff. Avec la collaboration d’Anaïck Samzun, Jean-Philippe Chimier, Nathalie Achard-Corompt, Ghislaine Billand, Nathalie Soupart et et Gilles Laperle.

L’objet de ce séminaire méthodologique concerne l’analyse des éléments recueillis lors de la phase du diagnostic en vue d’une meilleure caractérisation des structures et des sites. Est recherchée une évaluation plus juste des moyens nécessaires au montage des opérations de fouille, dans un domaine où la sous-estimation – et dans de rares cas la surestimation – est récurrente. Dans ce cadre, nous proposons une approche thématique qui met en relief les problèmes spécifiques à la détection des ensembles funéraires à incinération. En effet, la pérennité de la crémation, déjà connue au Mésolithique et en vigueur dans certaines régions tout au long des âges des Métaux jusqu’à la période gallo-romaine, multiplie les occasions de se confronter à cette documentation archéologique. Par ailleurs, elle pose des difficultés d’identification qui, dès la phase du diagnostic, compliquent la caractérisation des structures et, en tout premier lieu, leur détection. Aussi sera-t-il question de la nature des indices disponibles puis de l’analyse de cinq cas significatifs examinés selon une même procédure.

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Pour citer cet article

LE GOFF, Isabelle et coll. (2007). La détection des structures funéraires liées à la crémation. Dans A. Augereau, H. Guy & A. Koehler (dir.), Le diagnostic des ensembles funéraires : actes du 1^er séminaire méthodologique de l’Inrap, 5-6 déc. 2005, Paris (Les Cahiers de l’Inrap 1, p. 10-21). Paris : Inrap. Disponible en ligne sur <https://sstinrap.hypotheses.org/11084> (déposé le 2 février 2021). <hal-03134290>.

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Accéder au volume complet des actes : https://hal-inrap.archives-ouvertes.fr/hal-02489321

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