Photogrammétrie et lasergrammétrie en milieu souterrain [Jérémy Dolbois]
Depuis plusieurs années, le développement des outils numériques a permis l’émergence et la diffusion de nouvelles méthodes d’enregistrement comme la photogrammétrie et plus récemment la lasergrammétrie. A l’instar de l’archéologie « de surface », les milieux souterrains profitent de cet essor et des progrès réguliers du matériel. Aujourd’hui, le recours à l’une ou l’autre de ces techniques, et même parfois à la mise en œuvre combinée des deux, permet d’obtenir des modèles 3D à différentes échelles : réseaux souterrains, relevés en grotte, relevés de parois / et ou de front de taille etc. Ces enregistrements constituent des supports dans l’étude des structures souterraines, dont le recours tend à se généraliser. La présentation de ces deux techniques permettra d’en rappeler les principes généraux et fondamentaux, d’approcher les conditions de leur mise en œuvre ainsi que les contraintes et difficultés que le milieu engendre sur leur réalisation.
Auteur
- Jérémy Dolbois (Responsable adjoint de la Cellule C.I.S.A.P, Membre du Réseau photogrammétrie, Direction scientifique et technique, Inrap)
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Inrap (8 octobre 2024). Photogrammétrie et lasergrammétrie en milieu souterrain [Jérémy Dolbois]. Rencontres scientifiques et techniques de l'Inrap. Consulté le 23 mai 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/12fop